Materials and notes by Vittorio Marchis, around his courses at Doctoral School of Politecnico di Torino
Lezione del 13 marzo 2025
Mercoledì 13 marzo, la lezione di Antropologia della tecnica sarà tenuta dalla collega professoressa Laura Gastaldi che parlerà del tema "sport e differenti abilità". Mi auguro che voi tutti possiate partecipare numerosi.
AVVISO IMPORTANTE
DALLA PROSSIMA SETTIMANA TUTTE LE LEZIONI SARANNO EFFETTUATE SEMPRE CON LO STESSO ORARIO (17:30-19:00) NELLA STESSA AULA (DIMEAS 3° piano) il MERCOLEDI' (e non più il giovedì).
Words, clues for a sort of a detective inquiry
- A noun, in different languages SPRING, MOLLA, RESSORT, FEDER, пружина
- What a relation between ressort and printemps?
- Feder: 1) piuma; 2) molla
- Ressort: 1) molla, 2) energia, 3) elasticità
- Its etymology
- Spring: 1) v. saltare; 2) s. primavera; 3) s. fontana; 4) s. molla
- Ressort: De l'ancien français resort (« action de rebondir, de rejaillir, de relever, ressource, ressort »), issu de l'ancien français resourdre (« rejaillir ») ou déverbal de ressortir
- Meta-words:
- Family names: Spring; Springfield;
- Trademark names: Springer Publisher;
- Nick names: Tiramolla; Molla Nasraddin
- Place names: Springfield
- Motto: Boia-chi-molla;
- Link with the own research area
- Citations for clus ( not general):
- Novels
- Comics
- Lyrics:
- Paintings
- ...
Nuovi incontri
Prossime lezioni del Corso di Antropologia della tecnica
mercoledì 5 marzo, dalle ore 17:30 alle 19:00 nella Sala del Terzo piano al DIMEAS
mercoledì 12 marzo, dalle ore 17:30 alle 19:00 nella Sala del Terzo piano al DIMEAS
mercoledì 19 marzo, dalle ore 17:30 alle 19:00 nella Sala del Terzo piano al DIMEAS
mercoledì 26 marzo, dalle ore 17:30 alle 19:00 nella Sala del Terzo piano al DIMEAS
I'm not a robot
"I'm not a robot", ha appena vinto l'oscar come miglior cortometrggio; rapporto bot e umani
https://www.youtube.com/watch?v=4VrLQXR7mKU
... ein Paar schmucker Ski von Hans Castorp
Ganz so geschah es. Unter den Augen Herrn Settembrini's, der den kritischen Sachkenner spielte, obgleich er von Sport keine Ahnung hatte, erstand Hans Castorp in einem Spezialgeschäft der Hauptstraße ein Paar schmucker Ski, hellbraun lackiert, aus gutem Eschenholz, mit prächtigem Lederzeug und vorne spitz aufgebogen, kaufte auch die Stäbe mit Eisenspitze und Radscheibe dazu und ließ es sich nicht nehmen, alles selbst auf der Schulter davonzutragen bis zu Settembrini's Quartier, wo mit dem Krämer eine Übereinkunft wegen täglicher Unterstellung der Gerätschaften bald getroffen war. Durch vielfache Anschauung über die Art ihres Gebrauches unterrichtet, begann er auf eigene Hand, fern von dem Gewimmel der Übungsplätze, an einem fast baumfreien Abhang nicht weit hinter Sanatorium »Berghof «, alltäglich darauf herumzustümpern, wobei das eine und andere Mal Herr Settembrini aus einiger Entfernung ihm zuschaute, auf seinen Stock gestützt, die Füße anmutig gekreuzt, Gewandtheitsfortschritte mit Bravorufen begrüßend.
Thomas Mann, Der Zauberberg
Massy, le cycliste de Georges Perec
Fils d’un pisciculteur de Saint-Quentin, Massy n’avait pas toujours été bourrelier. À seize ans, alors qu’il était en apprentissage à Levallois, il s’était inscrit dans un club sportif et s’y était révélé d’emblée un cycliste exceptionnel : bon grimpeur, vite au sprint, merveilleux au train, récupérant admirablement, sachant d’instinct quand et qui il fallait attaquer, Massy avait l’étoffe d’un de ces géants de la route dont les exploits illustrent l’âge d’or du cyclisme ; à vingt ans, à peine passé professionnel, il le manifesta avec éclat : dans l’avant-dernière étape, Ancône-Bologne, du Tour d’Italie 1924, sa première grande épreuve, il déclencha entre Forli et Faenza une échappée, démarrant avec une telle ardeur que seuls Alfredo Binda et Enrici purent s’accrocher à sa roue : Enrici y assura sa victoire finale et Massy lui-même une très honorable cinquième place.
Un mois plus tard, dans son premier et dernier Tour de France, Massy faillit renouveler avec encore plus de bonheur sa performance et dans la dure étape Grenoble-Briançon manqua ravir à Bottechia qui l’avait conquis dès la première journée, le maillot jaune. Avec Leducq et Magne, qui faisaient comme lui leur premier Tour de France, ils s’échappèrent au pont de l’Aveynat et dès la sortie de Rochetaillée avaient semé le peloton. Leur avance ne cessa de s’accentuer dans les cinquante kilomètres qui suivirent : trente secondes à Bourg-d’Oisans, une minute à Dauphin, deux à Villar-d’Arène, au pied du Lautaret. Galvanisés par la foule qui s’enthousiasmait de voir enfin des Français menacer l’invincible Bottecchia, les trois jeunes coureurs franchirent le col avec plus de trois minutes d’avance : il ne leur restait plus qu’à se laisser triomphalement descendre jusqu’à Briançon ; quel que soit par ailleurs le classement de l’étape, il suffisait que Massy conserve les trois minutes d’avance qu’il avait prises à Bottecchia pour passer en tête du classement général : mais à vingt kilomètres de l’arrivée, juste avant Monêtier-les-Bains, il dérapa dans un virage et fit une chute, pour lui sans gravité, mais désastreuse pour sa machine : la fourche cassa net. Le règlement interdisait alors aux coureurs de changer de vélo au cours d’une étape, et le jeune champion dut abandonner. La fin de sa saison fut lamentable. Son directeur d’équipe, qui avait une foi quasi illimitée dans les possibilités de son poulain, parvint à le convaincre, alors qu’il parlait tout le temps d’abandonner à jamais la compétition, que sa malchance dans le Tour avait provoqué chez lui une véritable phobie de la route et le persuada de se convertir à la piste. Massy pensa d’abord aux Six-Jours et à cet effet contacta le vieux pistard autrichien Peter Mond dont l’équipier habituel, Hans Gottlieb, venait de se retirer. Mais Mond venait juste de signer avec Arnold Augenlicht et Massy décida alors, sur les conseils de Toto Grassin, de se lancer dans le demi-fond : de toutes les disciplines cyclistes, c’était alors la plus populaire et des champions comme Brunier, Georges Wambst, Sérès, Paillard ou l’américain Walthour, étaient littéralement adulés par les foules dominicales qui emplissaient le Vel d’Hiv, Buffalo, la Croix de Berny ou le Parc des Princes.
La jeunesse et l’enthousiasme de Massy firent merveille et le quinze octobre 1925, moins d’un an après ses débuts dans la spécialité, le nouveau stayer battit à Montlhéry le record du monde de l’heure en parcourant 118,75 kilomètres derrière la grosse moto de son entraîneur Barrère équipée pour la circonstance d’un coupe-vent élémentaire. Le Belge Léon Vanderstuyft, quinze jours auparavant, tiré sur la même piste par Deliège avec un coupe-vent un peu plus important, n’avait atteint que 115,098 kilomètres. Ce record qui, en d’autres circonstances, aurait pu inaugurer une carrière prodigieuse de pistard ne fut malheureusement qu’une apothéose triste et sans lendemain. Massy était alors en effet, et depuis seulement six semaines, soldat de deuxième classe au premier régiment du Train à Vincennes, et s’il avait pu obtenir une permission spéciale pour sa tentative, il ne put réussir à la faire déplacer in extremis lorsqu’un des trois juges exigés par la Fédération Internationale de Cyclisme se décommanda deux jours avant la date prévue.
Sa performance ne fut donc pas homologuée. Massy se battit tant qu’il put, ce qui ne fut pas facile du fond de sa caserne, malgré l’appui spontané que lui apportèrent, non seulement ses camarades de chambrée pour qui il était évidemment une idole, mais ses supérieurs et jusqu’au colonel commandant la garnison, qui provoqua même une intervention à la Chambre des députés du ministre de la Guerre, lequel n’était autre que Paul Painlevé. La Commission internationale d’Homologation resta inflexible ; tout ce que Massy put obtenir fut l’autorisation de recommencer sa tentative dans des conditions réglementaires. Il reprit son entraînement avec acharnement et confiance et en décembre, lors de sa seconde tentative, impeccablement tiré par Barrère, battit son propre record en parcourant dans l’heure 119,851 kilomètres. Mais cela ne l’empêcha pas de descendre de machine en hochant tristement la tête : une quinzaine de jours auparavant, Jean Brunier, derrière la moto de Lautier, avait fait 120,958 kilomètres, et Massy savait qu’il ne l’avait pas battu. Cette injustice du sort qui le privait à jamais de voir son nom figurer au palmarès alors qu’il avait, en tout état de cause, été recordman du monde de l’heure du 15 octobre au 14 novembre 1925, démoralisa tellement Massy qu’il décida de renoncer complètement au cyclisme.
Georges Perec, La vie mode d'emploi.
Ulysses's sport
When asked if there are references to sport in James Joyce's Ulysses, here they are. They are not so numerous but curious.
"He walked cheerfully towards the mosque of the baths. Remind you of a mosque, redbaked bricks, the minarets. College sports today I see. He eyed the horseshoe poster over the gate of college park: cyclist doubled up like a cod in a pot. Damn bad ad. Now if they had made it round like a wheel. Then the spokes: sports, sports, sports: and the hub big: college. Something to catch the eye."
"—There’s the man, says Joe, that made the Gaelic sports revival [...] So off they started about Irish sports and shoneen games the like of lawn tennis and about hurley and putting the stone and racy of the soil and building up a nation once again and all to that. And of course Bloom had to have his say too about if a fellow had a rower’s heart violent exercise was bad. [...] A most interesting discussion took place in the ancient hall of Brian O’ciarnain’s in Sraid na Bretaine Bheag, under the auspices of Sluagh na h-Eireann, on the revival of ancient Gaelic sports and the importance of physical culture, as understood in ancient Greece and ancient Rome and ancient Ireland, for the development of the race.
Sport & Fashion
Why a blog in English ?
After writing some posts on this blog in English, I have verified that the percentage of admissions outside Italy is significantly increased... without prejudice to the fact that only few Italian doctoral students follow it.
A question for the future...
The term “computer”, (in use from the early 17th century, the first known written reference dates from 1613) before the advent of mechanical calculation, referred to the people who did scientific calculations by hand.
Now everybody knows what a COMPUTER is.
The term "athlete" is a person who is proficient in sports and other forms of physical exercise.
In the future, after the digital revolution, ATHLETE will be ........